le complexe de prométhée
Bon, le titre est un peu tiré par les cheveux, je l'admet.
Pour leur fin de résidence, KompleXKapharnaüM et la cie Carabosse nous proposent une performance commune. Vous avez peut-être croisé l'une de ces cies aux dernière Invites de Villeurbanne. Carabosse est connue pour son travail de la mécanique et du feu, quand à elle KXKM l'est pour son travail avec l'image, projetée, collée ; pour ses interventions en milieu urbain. Donc vendredi dernier aux Ateliers Frappaz, comme toujours un accueil sympathique, beaucoup d'habitués, mais peu de nouvelles têtes.
La cour des ateliers est éclatée en une multitude de lieux de performance, machines au mécanisme abscons gisent et surgissent du bitume. Progressivement, des hommes viennent attiser, nourrir, et dompter le feu. Du travail commun entre les deux compagnies, on retiendra les essais d'images projetées sur des panneaux de cire, fondant sous la chaleur, ou bien encore celles projetées sur ces blocs de glaces, dont la fonte entrainne ensuite de complexes rouages. Le vent qui souffle dans les braises à la nuit tombante est un spectacle fascinant. Mais le lien entre les images projetées, le travail sonore et les ardentes machines est difficile. Y en a-t-il d'ailleurs un? On peut regretter que les compagnies ne nous aient pas proposées de lien palpable entre les différentes installations, car malgré leur beautés intrinsèques, elles n'ont su retenir mon attention au delà de l'effet primaire de fascination pour le feu.
Pour leur fin de résidence, KompleXKapharnaüM et la cie Carabosse nous proposent une performance commune. Vous avez peut-être croisé l'une de ces cies aux dernière Invites de Villeurbanne. Carabosse est connue pour son travail de la mécanique et du feu, quand à elle KXKM l'est pour son travail avec l'image, projetée, collée ; pour ses interventions en milieu urbain. Donc vendredi dernier aux Ateliers Frappaz, comme toujours un accueil sympathique, beaucoup d'habitués, mais peu de nouvelles têtes.
La cour des ateliers est éclatée en une multitude de lieux de performance, machines au mécanisme abscons gisent et surgissent du bitume. Progressivement, des hommes viennent attiser, nourrir, et dompter le feu. Du travail commun entre les deux compagnies, on retiendra les essais d'images projetées sur des panneaux de cire, fondant sous la chaleur, ou bien encore celles projetées sur ces blocs de glaces, dont la fonte entrainne ensuite de complexes rouages. Le vent qui souffle dans les braises à la nuit tombante est un spectacle fascinant. Mais le lien entre les images projetées, le travail sonore et les ardentes machines est difficile. Y en a-t-il d'ailleurs un? On peut regretter que les compagnies ne nous aient pas proposées de lien palpable entre les différentes installations, car malgré leur beautés intrinsèques, elles n'ont su retenir mon attention au delà de l'effet primaire de fascination pour le feu.
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
©l'homnivore singulière
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